Un classement révélateur de la vitalité culturelle congolaise
Billboard France a publié au mois de juillet 2025 son classement des artistes congolais les plus streamés en France au cours du premier semestre. Une photographie intéressante de l’influence de la scène musicale du Congo-Kinshasa sur les plateformes de streaming francophones.
En tête : Fally Ipupa. L’artiste, qui cumule des millions d’écoutes mensuelles sur Spotify et Deezer, précède deux figures légendaires de la rumba congolaise : Koffi Olomidé et Ferre Gola. Ces trois noms forment le trio de tête d’un classement où l’on retrouve aussi bien des figures de la scène gospel comme Moïse Mbiye ou Dena Mwana que des représentants du ndombolo moderne à l’image de Gaz Mawete ou Innoss’B.
Ce palmarès, basé sur les données agrégées de Spotify, Deezer et Apple Music, démontre non seulement la résilience du genre rumba/ndombolo mais aussi sa capacité à évoluer et à conquérir une audience internationale, notamment en France, principal relais du soft power culturel congolais en Europe.
Billetterie ouverte dès mardi 29 juillet pour le concert de Koffi Olomide
C’est désormais officiel : la billetterie du concert de Koffi Olomide à l’ING Arena de Bruxelles ouvrira ce mardi 29 juillet. L’annonce a été relayée par les organisateurs et confirmée lors d’une rencontre publique avec l’artiste à l’Hôtel de Ville de Bruxelles. Ce concert, prévu pour le 6 septembre, s’annonce comme l’un des grands rendez-vous culturels de la rentrée dans la capitale belge.
Les billets seront disponibles via les plateformes officielles, avec plusieurs catégories tarifaires selon les zones. La vente en ligne est attendue dès 10h du matin.
Une apparition attendue à l’Hôtel de Ville de Bruxelles
Koffi Olomide s’est présenté ce vendredi 25 juillet à 17h précises dans la capitale européenne. À l’heure convenue, l’icône de la musique congolaise a fait son entrée à l’Hôtel de Ville de Bruxelles pour confirmer la tenue de son concert à l’ING Arena, prévu le 6 septembre prochain. Lors de cette rencontre, à mi-chemin entre conférence de presse et réunion publique, il a également annoncé l’ouverture officielle de la billetterie à partir du mardi 29 juillet.
A Long-Awaited Appearance at Brussels City Hall
Koffi Olomide arrived punctually at 5 p.m. on Friday, 25 July in the Belgian capital. As expected, the iconic Congolese musician made his entrance at Brussels City Hall to officially confirm his 6 September performance at the ING Arena. During this public meeting, part press conference and part cultural gathering, he announced the official opening of ticket sales from Tuesday, 29 July.
Le 23 juillet 2025, dans une cérémonie exclusive organisée à Bruxelles, le pasteur Marcello Tunasi, âgé de 50 ans, épousera Esther Aïcha, fidèle et proche collaboratrice de son église. L’annonce avait été faite la veille, le 20 juillet, au cours d’un service à Kinshasa, confirmant ainsi que le mariage se tiendrait précisément un an après le décès tragique de sa première épouse, Blanche Odia Kandolo Tunasi, emportée le 12 juin 2024 d’une crise cardiaque en Turquie.
Dans les mois ayant suivi ce deuil brutal, le pasteur avait exprimé son besoin de ne pas rester célibataire, déclarant : « Je n’ai pas l’onction du célibat », laissant entendre qu’il envisageait de tourner la page. Ce choix s’inscrit dans une logique personnelle et spirituelle clairement assumée.
L'Oréal, leader mondial des cosmétiques fondé en 1909 par Eugène Schueller, domine aujourd'hui l'industrie beauté avec une présence internationale.
Lire l'articleAmbiance électrique sur la scéne Pierre Rapsat
Le 18 juillet, la scène Pierre Rapsat a vibré au rythme des basses de Dadju. Sous les étoiles ardennaises, plusieurs milliers de festivaliers, massés devant la scène principale, ont offert une mer de smartphones pour immortaliser le show. Le chanteur a ouvert le concert avec Reine, immédiatement suivi d’un enchaînement de ses succès, installant une ambiance chaude et chorale. Les moments forts se sont succédés, amplifiés par des effets lumineux et un son puissant, donnant un relief nocturne unique à Spa.
An Exclusive Evening for a Privileged Audience
Held in a discreet location, the 12 July concert differed significantly from Ferré Gola's recent appearance at the ING Arena. While that performance catered to a large crowd, this event was designed for proximity and resonance.
No excessive promotion preceded the event, yet word quickly spread through dedicated networks. Those in attendance included long-time fans, cultural figures and music lovers from the Congolese diaspora. The stripped-back setting allowed the music to speak for itself—and it did, powerfully.
Un concert exclusif pour un public privilégié
La capitale belge, où réside l’une des plus fortes diasporas congolaises d’Europe, a accueilli ce 12 juillet une prestation exceptionnelle de Ferré Gola. À rebours des formats classiques, le concert s’est déroulé dans un cadre restreint, presque confidentiel, où l’accent fut mis sur la proximité avec le public et la qualité sonore.
Bien que le lieu exact n’ait pas été annoncé dans les communications officielles, la présence de Ferré Gola avait été subtilement relayée sur les réseaux sociaux, attirant un public composé de fidèles, venus d'à travers le monde, de mélomanes avertis et de figures de la scène culturelle congolaise.
Ce choix d’un événement à jauge réduite contraste avec son précédent passage à l’ING Arena de Bruxelles, salle emblématique où il s’était produit quelques semaines plus tôt dans un format plus classique. Ce retour dans une configuration intimiste semble avoir donné une liberté nouvelle à l’artiste, qui a pu s’exprimer sans filtre.
L'ascension fulgurante d'un juriste devenu ministre
Originaire du Haut-Lomami, Constant Mutamba est juriste de formation et détenteur d’un doctorat en droit obtenu à l’université de Kinshasa. Dès ses années étudiantes, il s’illustre par ses discours critiques sur le manque de transparence dans la vie politique congolaise. En 2015, il fonde la Nouvelle Génération Émergente du Congo (NOGEC), un parti qui prône une « rupture éthique » avec les pratiques des anciens régimes.
Mutamba se distingue par sa capacité à mobiliser la jeunesse, en particulier les étudiants en droit et les jeunes professionnels. Son langage direct, sa posture de réformateur et son discours anti-corruption le propulsent dans les médias comme l’une des voix montantes de l’opposition.
En 2023, dans un geste interprété comme une volonté de renouvellement, le président Félix Tshisekedi l’appelle au gouvernement en tant que ministre de la Justice. Il devient le plus jeune membre du gouvernement en fonction et concentre rapidement l’attention par son style tranché.
Historique des accusations et montants en jeu
L'affaire porte sur un montant de 19 millions de dollars, destinés à la construction d'un complexe pénitentiaire à Kisangani et à l'indemnisation de victimes des conflits armés. Le ministère public reproche à Constant Mutamba d’avoir autorisé le déblocage partiel de ces fonds sans validation gouvernementale complète. Si aucune somme n'a été officiellement perçue par les entreprises concernées, la cellule de renseignement financier a dénoncé un risque avéré de prédation.
L'accusé plaide une erreur de procédure, non un acte de corruption, et dénonce un acharnement politique. Le parquet, lui, voit dans cette affaire un test de volonté réelle de la RDC à lutter contre l'impunité des hauts responsables.
Kinshasa, épicentre économique émergent en Afrique
Kinshasa, capitale dynamique de la République démocratique du Congo (RDC), s’impose en 2025 comme un pôle incontournable pour les investisseurs africains. Dotée d'une économie en pleine croissance et bénéficiant d'un contexte continental particulièrement favorable, la ville attire désormais des capitaux de toute l'Afrique.
Un contexte économique africain en pleine expansion
En 2025, l’Afrique affiche une croissance économique annuelle dépassant 5 %, notamment portée par des marchés émergents tels que le Nigeria, l'Égypte, l'Afrique du Sud et désormais la RDC. Malgré les défis liés à l'instabilité politique ponctuelle, le continent attire massivement grâce à des secteurs comme l'agriculture, l'industrie manufacturière et les énergies renouvelables. Kinshasa, bénéficiant d'une position géographique stratégique et d'un marché en pleine expansion, devient l'une des villes phares pour ces investissements.
Une domination massive du hip‑hop dans le streaming mondial
Au cours des cinq dernières années, le hip‑hop s’est imposé comme le genre musical dominant sur les plateformes de streaming. En 2023, près de 25 % des écoutes totales sur Spotify étaient consacrées au hip‑hop ; plus de 400 millions d’utilisateurs y ontstreamé au moins un titre hip‑hop . Les playlists les plus suivies, comme RapCaviar, attirent des dizaines de millions d’abonnés. Chaque année, la moitié des artistes les plus streamés figurent dans la catégorie hip‑hop/rap, creusant l’écart avec d’autres genres. Les performances de Drake, Nicki Minaj, 21 Savage ou Ice Spice illustrent la popularité durable du style.
Les raisons jouent sur plusieurs plans :
Un demi-siècle d’indépendance entre défis et espoirs
Le 30 juin 2025 marque un événement marquant pour la République Démocratique du Congo (RDC) : les 65 ans de son indépendance. Cette célébration est l’occasion de faire un bilan historique, économique et social du pays, longtemps secoué par des crises politiques, des guerres civiles, mais aussi des espoirs de renouveau. À travers ce voyage dans le temps, nous mettrons en lumière les moments clés de son histoire, avec un accent particulier sur les deux dernières décennies et la question de l’avenir économique du pays, dans une comparaison avec Dubaï, qui a su diversifier son économie, réduisant la part du pétrole à seulement 1% de son PIB en 2023.
1. 30 juin 1960 : L'indépendance acquise dans la douleur
La République Démocratique du Congo, alors appelée le Congo belge, accède à l’indépendance le 30 juin 1960, après près de 80 ans de colonisation par la Belgique. L’indépendance est proclamée dans un contexte tendu, avec un peuple congolais qui réclame son autonomie. La cérémonie se déroule à Léopoldville (actuelle Kinshasa), où le roi Baudouin de Belgique remet le pouvoir à Patrice Lumumba, premier Premier ministre. L’indépendance est toutefois marquée par des violences et une division interne qui, en partie, poussent le pays vers une instabilité politique et économique.
2. 1965 : Mobutu prend le pouvoir
En 1965, après des années de luttes internes et de tensions, Mobutu Sese Seko, à la tête d'un coup d'État, prend le pouvoir et dirige le pays pendant plus de 30 ans. Il renomme le pays « Zaïre » et met en place un régime autoritaire qui repose sur une politique de « dictature éclairée ». Le régime de Mobutu repose sur la centralisation du pouvoir, la corruption et un contrôle strict de l'économie. Le pays connaît un développement économique initial grâce aux exportations de matières premières, mais cette période sera marquée par une gestion inefficace et l’isolement international du pays.
3. 1997 : Chute de Mobutu et la prise de pouvoir de Laurent-Désiré Kabila
En 1997, après une longue guerre civile, Mobutu est renversé par Laurent-Désiré Kabila, soutenu par des puissances voisines, dont le Rwanda et l’Ouganda. La chute de Mobutu marque la fin d’une ère de dictature, mais le pays sombre immédiatement dans une nouvelle série de conflits. La guerre qui éclate en 1998, connue sous le nom de « Deuxième Guerre du Congo », est l’un des conflits les plus meurtriers du 20e siècle, impliquant plusieurs pays africains. Kabila est assassiné en 2001, après avoir été confronté à des tensions internes croissantes.
J’étais là, assis à quelques pas de la scène où les balances tardaient un peu, observant la lente montée du public, famille après famille, groupe après groupe, jusqu’à ce que la clairière se transforme en un petit village bruissant. Le festival, encore jeune, semble n’avoir pas encore la réputation des grandes manifestations bruxelloises, mais c’est précisément ce qui en fait le charme : un format resserré, presque intime, où chaque spectateur peut se croire invité personnellement.
L’édition 2025 avait placé la barre haut en conviant en tête d’affiche Wills Tengaïshy. L’artiste congolais, connu pour ses interprétations d’une rumba teintée de modernité, a offert un concert de près d’une heure. D’emblée, la voix ample et feutrée du chanteur a traversé l’assemblée, imposant le silence. La scénographie, pourtant modeste, n’en ôtait rien à la chaleur communicative de ses morceaux. Il faut dire que Wills Tengaïshy traverse une période féconde : son dernier album, publié il y a quelques mois, a suscité un intérêt grandissant auprès d’un public multigénérationnel, tandis que ses performances live continuent de consolider sa réputation de passeur de mémoire.
Il m’a semblé que son répertoire, à la fois classique et accessible, convenait parfaitement à ce type d’événement, pensé pour réconcilier la diaspora et le public belge autour d’une proposition musicale fédératrice.
Un festival à la fois historique et contemporain
Créées en 1989, les Francofolies de Spa ont su conjuguer renom et renouveau. Organisée du 17 au 20 juillet au cœur de la cité thermale belge, cette 30ᵉ édition combine têtes d’affiche (Julien Doré, Clara Luciani, IAM…) et découvertes (Styleto, Essyla…). Avec son parc historique, la Place Royale et les scènes annexes comme la Fontaine et les Francos Juniors, le festival se présente comme un laboratoire de la musique francophone. Il mêle artistes confirmés et jeunes talents, avec près de la moitié de la programmation dédiée aux artistes belges. Spa reste ainsi l’un des rendez-vous culturels majeurs de l’été, attirant chaque année plus de 135 000 festivaliers en 2023.
En Belgique : un écosystème à fort potentiel, ralenti par des verrous structurels
Je suis basé en Belgique. J’y ai lancé plusieurs projets, dont NOKI, une plateforme destinée à démocratiser l’accès aux outils financiers et entrepreneuriaux, particulièrement pour les publics sous-représentés. Et ce que je peux dire, c’est que l’intention entrepreneuriale y est forte — mais les obstacles le sont aussi.
D’abord, le cadre fiscal. En Belgique, les charges sociales et fiscales atteignent rapidement 50 à 60 % du revenu dès les premières factures émises. Le problème n’est pas la contribution — elle est nécessaire — mais le timing : on taxe les entrepreneurs avant même qu’ils ne génèrent du profit. Dans les modèles anglo-saxons, le principe est inversé : on taxe le résultat, pas l’intention.
Ensuite, les procédures administratives. Même si des progrès ont été faits (création d’entreprise simplifiée en ligne, accompagnement public, etc.), la nécessité du notaire pour certaines formes juridiques ou les délais bancaires peuvent facilement retarder un lancement de plusieurs semaines. Dans un monde où la vitesse d’exécution est un avantage compétitif, c’est un frein invisible mais réel.
Enfin, l’écosystème d’investissement. Selon les données de l’European Investment Fund, l’Europe a investi environ 70 milliards d’euros en capital-risque en 2023, contre 345 milliards de dollars aux États-Unis. Ce décalage freine l’émergence de champions européens de la tech, notamment dans les secteurs stratégiques comme l’IA, la cybersécurité ou la biotechnologie.
Un écrin historique réveillé
Le Vaux‑Hall, joyau historique restauré en 2017, propose depuis le 11 juin et jusqu’au 13 juillet une programmation culturelle diversifiée : concerts, cinéma en plein air, ateliers, sport et guinguette. Ce samedi 14 juin, la scénographie a misé sur la musique afro, avec en première partie deux DJ sets mêlant Amapiano, Rumba congolaise et rythmes ivoiriens. Les platines – assurées notamment par des DJs d’origine congolaise, comme DJ Assia MK – ont fait vibrer le parc dès le début de soirée.
Retour d’exil : une réapparition sous haute tension
Joseph Kabila, ancien président de la République démocratique du Congo (RDC), a réapparu publiquement en mai 2025, après deux années passées à l’étranger. Il a choisi la ville de Goma, située dans une zone instable de l’est du pays, comme théâtre de son retour. Ce choix est hautement symbolique : Goma est en grande partie contrôlée par les rebelles du M23, un groupe armé actif depuis 2012 et soutenu, selon plusieurs sources, par le Rwanda.
Officiellement, Kabila était en Afrique du Sud pour poursuivre un doctorat. Officieusement, son exil a coïncidé avec un éloignement croissant de la scène politique nationale, marqué par des tensions avec son successeur, Félix Tshisekedi. Depuis son retour, le gouvernement congolais a pris une mesure sans précédent : l’interdiction faite aux médias de mentionner ou d’interviewer Kabila et les membres de son parti, le PPRD. Selon Christian Bosembe, président du Conseil supérieur de l’audiovisuel et de la communication (CSAC), tout manquement à cette règle pourra entraîner la suspension du média concerné.
Kabila, aujourd’hui âgé de 53 ans, fait l’objet d’accusations graves : soutien aux rebelles, trahison, crimes de guerre. Privé de son immunité par le Sénat en mars 2025, l’ancien chef de l’État réfute les faits et dénonce une justice aux ordres. Il accuse le gouvernement d’exploiter les institutions à des fins politiques.
Depuis l’époque de l’indépendance du Congo en 1960, la diaspora congolaise a toujours été impliquée, parfois en coulisses, dans les soubresauts politiques du pays. Mais alors qu’elle fut longtemps cantonnée à un rôle de spectatrice ou de critique lointaine, elle devient désormais actrice.
Bruxelles, ancien centre colonial, est aujourd’hui le principal foyer de cette diaspora. On y compte environ 200 000 personnes d’origine congolaise, dont une partie significative est diplômée, insérée professionnellement et politiquement active. À Paris, des collectifs comme "La Parole aux Congolais" organisent régulièrement des forums sur la gouvernance, la jeunesse ou l’alternance. Et à Kinshasa même, les candidats issus de la diaspora commencent à peser sur les équilibres électoraux.
Selon le politologue Germain Mumbere, installé à Anvers :
« La diaspora congolaise est en train de se réinventer. De la résistance culturelle, on passe à une stratégie d’influence politique assumée, qui s’appuie sur les réseaux, les médias et les compétences accumulées en exil. »
La Banque mondiale relance son engagement dans le projet hydroélectrique congolais après neuf ans d'absence
La Banque mondiale a approuvé un financement d’un milliard de dollars pour relancer le développement du projet hydroélectrique Inga III, situé sur le fleuve Congo en République démocratique du Congo (RDC). L’annonce, faite par Albert Zeufack, directeur des opérations de l’institution pour la RDC, symbolise un tournant décisif dans l’histoire énergétique du pays.
Le projet Inga III, longtemps qualifié de « mythique » en raison de ses retards et controverses, bénéficie d’un premier décaissement immédiat de 250 millions de dollars. Cette enveloppe vise à poser les fondations du développement durable du site, notamment par l’implication renforcée des communautés locales, l’amélioration des infrastructures et la création d’emplois dans les localités riveraines.
Zeufack a salué cette étape comme une « excellente nouvelle », soulignant que le programme permettra d’accélérer les réformes dans le secteur de l’énergie et d’assurer la durabilité du Plan Énergétique National (COMPACT RDC) au-delà de 2030.
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